Les Hommes libres est un film français réalisé par Ismaël Ferroukhi et sorti en 2011.
Durant la Seconde Guerre mondiale, dans un Paris occupé, le jeune Algérien Younes est appréhendé par la police française parce qu'il pratique le marché noir. Mais au lieu de l'incarcérer, la police lui demande d'espionner les faits et gestes de Si Kaddour Benghabrit, recteur de la Grande Mosquée, soupçonné de procurer de faux papiers aux résistants et aux Juifs. C'est dans ces circonstances qu'Younes fait la connaissance du chanteur Salim Halali, un juif algérien qui se fait passer pour un musulman. Impressionné par la voix et le charisme de Salim, Younes se prend d'amitié pour lui et cette rencontre change sa vie. Non seulement, il renonce à la mission confiée par la police, mais il s'élève spirituellement et devient un fervent défenseur des libertés.
Romancé, le sujet du film s'appuie sur des faits historiques, les personnages de Si Kaddour Benghabrit et Salim Halali ont existé. Le rôle de Younes est construit sur divers éléments appartenant à plusieurs personnages réels comme le précise une note au générique de fin.
Distinction
Festival de Cannes 2011 (le 12 mai) : projection en séances scolaires destinées aux lycéens3
Prix ARTE des Relations internationales
Réception par la critique historique
Le film est critiqué par le chercheur au CNRS Jean Laloum qui émet des réserves sur la véracité de certains faits présentés dans le film à la suite d'« l’absence d’archives ou d’autres sources historiques » pouvant les confirmer et à la « crédibilité sujette à caution » des témoignages de Salim Halali.
Le journaliste Philippe Bouvard reste reconnaissant au recteur Si Kaddour Ben Ghabrit pour avoir sauvé son père adoptif, Jules Luzzato, de la Gestapo.
Durant la Seconde Guerre mondiale, dans un Paris occupé, le jeune Algérien Younes est appréhendé par la police française parce qu'il pratique le marché noir. Mais au lieu de l'incarcérer, la police lui demande d'espionner les faits et gestes de Si Kaddour Benghabrit, recteur de la Grande Mosquée, soupçonné de procurer de faux papiers aux résistants et aux Juifs. C'est dans ces circonstances qu'Younes fait la connaissance du chanteur Salim Halali, un juif algérien qui se fait passer pour un musulman. Impressionné par la voix et le charisme de Salim, Younes se prend d'amitié pour lui et cette rencontre change sa vie. Non seulement, il renonce à la mission confiée par la police, mais il s'élève spirituellement et devient un fervent défenseur des libertés.
Romancé, le sujet du film s'appuie sur des faits historiques, les personnages de Si Kaddour Benghabrit et Salim Halali ont existé. Le rôle de Younes est construit sur divers éléments appartenant à plusieurs personnages réels comme le précise une note au générique de fin.
Distinction
Festival de Cannes 2011 (le 12 mai) : projection en séances scolaires destinées aux lycéens3
Prix ARTE des Relations internationales
Réception par la critique historique
Le film est critiqué par le chercheur au CNRS Jean Laloum qui émet des réserves sur la véracité de certains faits présentés dans le film à la suite d'« l’absence d’archives ou d’autres sources historiques » pouvant les confirmer et à la « crédibilité sujette à caution » des témoignages de Salim Halali.
Le journaliste Philippe Bouvard reste reconnaissant au recteur Si Kaddour Ben Ghabrit pour avoir sauvé son père adoptif, Jules Luzzato, de la Gestapo.
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